Autant commencer par le début, certes un peu technique, mais nécessaire pour la suite. Ici, la connexion Internet filaire, comme l’ADSL en France, est assez chère. Les gens ont donc plus fréquemment des connexions Internet 3G passants par le réseau cellulaire, car c’est le plus rentable ici. Par contre, les débits sont beaucoup plus faibles alors il ne faudra pas s’attendre à de beaux romans et à plein de photos de ma part !
Je suis donc arrivé, sain et sauf et passablement en pleine forme, vendredi soir vers 18 h (heure locale). On s’est fait un petit take-away chinois au coin de la rue et je n’ai pas trop trainé à me mettre au lit même si je n’y ai pas trop trouvé le sommeil rapidement, faute au décalage horaire et au stress (organique, pas psychologique) du voyage.
Samedi, nous sommes allés au centre-ville histoire de commencer par prendre ce qui fait d’un homme un citadin aguerri : une carte SIM et une carte de transports en commun ! La ville est superbe, je n’ai pas encore pris de photo, car la batterie de l’appareil était à plat, mais je me rattraperais et j’essayerais de faire un album sur MobileMe. Donc, pour faire simple, Preth est une ville composée de bâtiments de faible hauteur, rarement plus de trois étages, de rues à l’américaine avec grandes avenues avec de belles voitures (grosses ou neuves voire les deux) et de vraiment beaucoup d’arbres. L’environnement y est parfaitement impressionnant, bien qu’étant dans une ville de plusieurs millions d’habitants, il y a des plantes et des arbres partout et des oiseaux à tel point que le réveil-matin n’est pas indispensable ! Ma première impression de l’Australien moyen a été de remarquer sa légendaire gentillesse : même quand on se fait renifler par un chien à la douane ou que l’on nous demande notre titre de transport, on ne se sent pas agressé !
Samedi soir, nous avons dîné avec Poppy (la colocataire-propriétaire de Meng) et son copain Adam, deux portes plus loin. La soirée s’est finie tard à jouer aux cartes autour de quelques bouteilles de vin rouge australien, à base de Merlot, qui valaient le détour ! Le lendemain dimanche, je me suis promené avec Meng, nous sommes allés manger dans un restaurant du chinatown un peu particulier : un Dimsum. On n’y commande rien, ce sont les serveurs qui passent avec des plats et on en prend ou non, ça nous à changé de l’Indien de la veille. On a fait quelques courses car, oui, les magasins sont ouverts le dimanche ouis on s’est reposé.
Je vais maintenant poser ma plume numérique car il est déjà presque 10 heures et j’aimerais profiter du reste de la matinée pour faire un peu de rollers dans le quartier avant de filer en ville.
P.-S. : mon petit déjeuner du jour était à base de sweet chilli sauce baked beanz faute d’avoir trouvé de la préparation à pancakes.
2 réponses sur « Premier weekend à Perth »
De la préparation à pancake… ben ça se fait tu sais ? ^^
Oui mais non ! Moi je veux des pancakes comme au KSA (Kingdom of Saudi Arabia) à la DIY (Do it yourself) où tu n’as qu’à mettre le lait et envuellement un oeuf dans la poudre qui contient tout le reste (farine, sel, levure etc.).