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Soirée projectionniste

Hier soir, j’ai participé à Interval, le festival du court-métrage lycéen (à La Rochelle). Ce projet, imaginé par Yannick Devin et qui arrive déjà à sa troisième édition, offre aux lycéens l’opportunité de diffuser leurs courts métrages, réalisés avec ou sans l’aide de leur établissement, à une salle de 620 personnes. Les plus talentueux repartent avec un « cube », le trophée du festival et, peut-être, le début de la gloire.

Le projecteur connecté au Mac Mini
Le projecteur connecté au Mac Mini

Pour ma part, on m’a demandé de suivre toute la partie technique de la diffusion : les années précédentes ont été un peu difficiles, car la structure du Mega CGR n’est pas habituée à recevoir n’importe quel type de diffusion vidéo bien qu’ils reçoivent de nombreuses manifestations chaque année.

Derrière la vitre... la salle !

En substance, nous avons opté pour une solution autour d’une structure de DVD avec menu. Yannick a compilé et réencodé les vidéos de tous les participants puis en a fait un DVD en deux temps et trois mouvements (merci iDVD). Pour la diffusion, le fichier ISO de ce DVD a été chargé sur un Mac Mini mis au propre et connecté via un adapteur mini DisplayPort vers DVI au vidéo-projecteur du CGR, un mastodonte de 6000 watts connecté à un réseau privé de transfert des films dématérialisés.

"Un anneau pour les gouverner tous"
"Un anneau pour les gouverner tous"

Quant à moi, j’ai passé la soirée dans la salle de projection, avec mon Mac Mini et mon MacBook de secours. Je me suis chargé de la diffusion des courts, de l’éclairage et du son, le tout dans un timing précis… Je suis super content, j’ai apprécié de passer de l’autre côté de la vitre !

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Les trucs du geek

rEFIt, deux infos en passant…

J’ai beaucoup utilisé rEFIt ces dernières semaines, c’est un outil qui permet de faire du multi-boot sur Mac. Je vous invite à l’essayer en le récupérant ici. Par contre, je voulais me faire deux petites notes pour plus tard, avant d’oublier…

  1. rEFIt a vraiment du mal à fonctionner avec deux disques dur. Par exemple, impossible d’installer Windows 7 tant que le second disque dur est partitionné. J’en conclus donc : si on a plusieurs disques durs, il faut tous les enlever sauf un pour installer les OS dessus. On peut rajouter les autres ensuite.
  2. Enfin, la petite astuce que j’ai cherchée pendant longtemps : il faut appuyer sur F10 pour prendre une capture de l’écran de démarrage. Ensuite, pour la récupérer, il faut monter la partition de l’EFI avec un truc du genre mount -t msdos /dev/disk0s1 /MonPointDeMontage.

Petite précision de la part de Julien : W7 à besoin d’une partition système (100 Mo par défaut, qui doit être étendue si on utilise Bitlocker). Cette partition doit être formatée en NTFS et est cachée… Elle contient, entre autre, les données nécessaires à l’amorçage du système.

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Documents techniques

Notes sur l’amorçage d’un disque dur

Je suis en train de travailler sur un dossier qui implique une bonne compréhension du processus d’amorçage des disques durs et comme je n’ai pas trouvé d’information claire et structurée, je vais essayer de partager avec vous ce que j’ai trouvé. L’idée est de banaliser le technique pour comprendre globalement comment ça marche sans pour autant rentrer dans les détails, je vous mettrais en fin d’article quelques liens pour approfondir le sujet.

Le principe général de l’amorçage

  1. Le micrologiciel embarqué sur le matériel (le BIOS ou l’EFI) effectue ses opérations de test et de configuration initiale puis va interroger la zone amorce du disque dur.
  2. La zone amorce du disque dur (MBR ou GPT). Cette partie spécifique du disque dur se trouve son tout premier secteur, c’est le seul endroit auquel le micrologiciel peut accéder. La particularité de la zone amorce est de connaître les différentes partitions du disque dur. Elle permet donc de charger le chargeur d’amorçage (noté « B » sur le schéma) du système d’exploitation que se trouve au début de la partition où il est installé.

Le MBR ou Master Boot Record
Ce type de zone amorce date des premiers PC compatibles IBM à disque dur. Elle est utilisée de concert avec le BIOS, qui date de la même époque et elle est couramment implémenté par le constructeur informatique depuis lors. Un de ses plus gros défauts est de ne supporter que quatre partitions principales. On lui reproche aussi aussi d’être la cause d’une perte d’espace importante lors de l’utilisation de gros disques dur.

Le GTP ou GUID Table Partition
Cette zone amorce a été originellement développée par Intel pour fonctionner avec l’EFI, l’Extended Firmware Interface, qui doit, à moyen terme, remplacer le BIOS. Largement programmable, l’EFI est rétrocompatible, il est possible, en quelque sorte, de programmer un BIOS et de la charger de manière transparente pour permettre l’exécution d’ancien système d’exploitation. L’EFI est nativement reconnue par Windows depuis la sortie de version 64bits, elle tourne avec GNU/Linux et est indispensable au fonctionnement de Mac équipés de processeurs Intel. Enfin, l’EFI avec le GTP permet d’utiliser un plus grand nombre de partitions, ainsi qu’une interface graphique.

Pour aller plus loin…

  1. Master Boot Record (anglais, Wikipedia)
  2. GUID Partition Table (anglais, Wikipedia)
  3. Amorce (fançais, Wikipedia)
  4. Extensible Firmware Interface (anglais, Wikipedia)
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Documents techniques

UCK : Schéma fonctionnel

Je suis actuellement en train de travailler sur Ubuntu Customization Toolkit, cet outil permet de personnaliser un Livce-CD Ubuntu, Xubuntu, Kubuntu ou EduBuntu. À l’occasion, voici un petit schéma fonctionnel du script de création!

P.-S. Désolé pour le filigrane, j’ai essayé de le faire léger.

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Les trucs du geek

Un joli champ de recherche