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Recette de couscous à la cocotte minute

Bon, c’est limite hors sujet, mais ce n’est pas une première, je vais mettre une petite recette sur ma page. Il s’agit d’une recette que j’ai piqué sur Marmiton et que j’ai un poil modifiée. Comme ça a été mon premier essai de couscous ainsi que mon premier essai de cocotte minute et que ça a bien plus, il faut vite que je note ce que j’ai fait avant que ça me sorte de la tête !

Si cette recette vous intéresse, lisez bien tout l’article avant de commencer, et même avant d’aller faire vos emplettes, je ne suis pas un as de la rédaction culinaire et je vais vraiment présenter l’ensemble dans un ordre chronologique dans la mesure où différentes étapes peuvent se faire simultanément. Ne vous y trompez pas, c’est une recette assez simple.

Ingrédients

Pour normalement six personnes, mais là, à 7 portions on ne l’a pas fini !

  • 6 pilons de poulet
  • env. 450g de selle d’agneau
  • [optionnel] 6 merguez
  • huile d’olive
  • 2 petites boîtes de sauce tomate (soit env. 400ml)
  • 3 belles tomates
  • 10 petits navets
  • 5 grosses carottes
  • 2 courgettes
  • 1 oignon
  • une petite poignée de raisins secs
  • une petite botte de coriandre fraîche
  • une petite boîte de pois chiches (soit env. 300g égouttés)
  • un mélange d’épices (voir plus bas)

Mélange d’épices

Les épices c’est toujours une histoire de goût, j’ai fait un peu avec ce que j’avais, c’est à dire du cumin en poudre, du sel, du poivre, un mélange de cinq baies, un cube de poule, de la harissa en poudre, du piment de Cayenne en poudre et de la harissa en tube (oui, ça fait beaucoup mais c’est personnel).

Première préparation de légumes

Dans cette première préparation, nous allons mettre les légumes qui ont besoin de cuire le plus longtemps. Il s’agit des tomates découpées en gros quartiers, des carottes pelées et coupées en tranches d’environ 1cm, de l’oignon émincé et des navets épluchés en coupés en deux.

Seconde préparation

La seconde préparation cuira moins longtemps, on y met courgettes en grosses rondelles d’environ 3cm d’épaisseur, les pois chiches égouttés, la poignée de raisins secs et la botte de coriandre ciselée.

[optionnel] C’est dans cette préparation qu’il faut mettre les merguez préalablement cuites à la poêle.

Préparation du couscous

Dans la cocotte, faites chauffer un fond d’huile d’olive et faites y dorer les pilons de poulet et la selle d’agneau grossièrement débitée. Quand le poulet n’est plus rose et que l’agneau et bien pris extérieurement, ajoutez la première préparation de légumes, le mélange d’épices, la sauce tomate et un litre d’eau. Fermez la cocotte minute à feu fort et laissez cuire 25 minutes après la montée en pression.

Évacuez la vapeur goûtez votre sauce pour éventuellement rectifier l’assaisonnement, ajoutez la seconde préparation, refermez et laissez cuire 10 minutes après la montée en pression.

Votre couscous est prêt, il ne vous faudra que quelques minutes pour préparer la semoule et, bon appétit!

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Abracadabulle 2009

Ce weekend, je suis retourné à Abracadabulle à Olonne sur Mer principalement pour dédicacer mon troisième album de Maliki. Je dis « principalement » mais, finalement, je n’ai fait que ça. Le jeune homme devenant célèbre, il est de plus en plus difficile d’accès comme à La Rochelle il y a un peu moins de deux mois. Nous sommes arrivé dans l’après-midi et le monsieur dédicaçait sur ticket… Ceux-ci ayant été distribués le matin pour limiter à 20 dédicaces l’après-midi de l’auteur. Je le répète : il prend son temps. J’ai donc passé l’après-midi à faire la queue et j’ai été 22ème à 18h15, le salon fermant à 18 h 30 et il n’a pas du faire beaucoup de dédicaces après la mienne.

Abracadabulles 2009

Je lui avais ramené un tout petit kangourou en peluche d’Australie et il a apprécié le clin d’oeil. Promis juré, le t-shirt de Zephyr21, ce n’était pas fait exprès ! Et, c’est sûr, l’année prochaine j’y irais le matin !
Désolé pour le texte sur l’image, mais une dédicace, c’est personnel, je le mets ici pour montrer aux copains, pas pour que ça traine partout sur le net !

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Bilan : un mois en Australie

Voilà, je suis rentré en France et j’ai achevé mon mois à Perth en Australie-Occidentale. Avant toute chose, je tiens à remercier Meng, ma douce et tendre, grâce à qui j’ai pu avoir un lit bien chaud dès mon arrivée et à qui je dois beaucoup de tranquillité d’esprit puisqu’elle a toujours été de bon conseil grâce aux cinq mois passés en Australie avant moi. J’en profite aussi pour remercier son entourage : Poppy, sa colocataire, CK et tous les autres membres du centre, mais aussi ses collègues qui ont souvent été de bon conseil ou d’un aide apprécié. Merci de m’avoir lu !

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Le secret de l'île aux rats

Hier, j’ai profité d’un des deux plus beaux jours du mois d’aout pour aller visiter Rottnest Island. Le nom de Rottnest lui a été donné par le Hollandais qui l’a découverte et qui, impressionné par le nombre de rats qui la peuplait (absence de prédateurs oblige), l’a nommé « nid de rats » en hollandais.


Cette île de 19 km2 fait environ 14 km de long pour 4,5 km de large et se trouve à 17 km de Fremantle. Pour mémoire, Fremantle est le port maritime situé sur l’embouchure de la Swan River et qui dessert Perth se trouvant en amont du fleuve. Pour accéder à cette île, le moyen le plus simple est de prendre le ferry soit à Perth soit à Fremantle. J’ai opté pour le départ de Perth, plus facile à rejoindre depuis mon lieu de résidence, et qui rallie Rottnest après un arrêt à Fremantle en environ 1 h 30. La partie maritime du trajet croise généralement une des deux familles de dauphins qui vivent dans ces eaux, mais nous n’avons eu cette chance ni à l’aller ni au retour.

L’île, après une brève Histoire de prisons, de base militaire et de lieu de résidence, a été classée parc national de première classe. L’installation humaine consiste en un unique village, le reste de l’île est resté en état à l’exception de route, de toilettes publiques et de quelques zones d’expérimentations scientifiques. Les infrastructures hors du camp sont toutes autonomes (récupérateur d’eau, panneau solaire, etc.) ce qui dénature le moins possible le paysage. Le territoire est recouvert de bush et quelques lacs salés s’étendent dans la partie nord-est de l’île.

Rottnest Express
Rottnest Express

Bien que ce soit une destination touristique, équipée en conséquence d’un certain nombre de résidences de vacances, la propriété privée y est interdite et l’ensemble des bâtiments appartient à l’état de WA. L’entretien de la réserve est financé en partie par la taxe qui est acquittée par toute personne se rendant sur l’île. Les véhicules sont interdits à quelques exceptions près : police, rangers, l’unique bus et un minicar touristique. Bien que principalement sauvage, cette île possède un aérodrome et une ligne de chemin de fer reliant l’ancienne caserne (reconvertie en hôtel) et le mont Oliver Hill. Avant de vous raconter un peu ma promenade, je vous invite à profiter du paysage…

L'éolienne de l'île derrière le Garden Lake
L'éolienne de l'île derrière le Garden Lake
L'océan, pur et clair
L'océan, pur et clair
Une crique du cap Vlamingh
Une crique du cap Vlamingh

Oui, ça donne envie de se baigner ou de surfer, mais en aout, fin de l’hiver, il fait encore trop froid ici. D’un autre côté, à la pleine saison, il peut y avoir jusqu’à 15000 personnes ici, ça doit être nettement moins bucolique. Je crois que si je reviens en Australie je choisirais quelque chose comme le printemps !

Il faut aussi que je vous parle de l’authentique population locale, les fameux « rats ». Il s’agit d’une espèce de marsupiaux uniques au monde, mais aussi uniques en Australie : les quokkas ne vivent que sur cette île. Gros comme des chats et à peu près aussi craintifs. Il y a des peureux et d’autres qui sont plutôt photogéniques. Une fois qu’on a compris le truc, c’est à dire leur donner une feuille bien verte de l’arbre qu’ils aiment bien manger, ils sont putôt amicaux. Je vous laisse juges de leur proximité biologique avec les rats de chez nous (lol).

Quokka au repos
Quokka au repos
Quokka à table
Quokka à table
Portrait de Quokka
Portrait de Quokka

Un conseil : si vous voulez voir des quokkas je vous déconseille de faire comme moi, c’est à dire se lever tôt, prentre le train puis le bateau et louer un vélo pour parcourir l’île sur plus de 20 km (et c’est loin d’être plat) à la recherche de quokkas dans leur environnement naturel. Tout ce que j’ai trouvé, c’est des traces, des crottes et des ossements (non, je ne les ai pas ramassés). Ce n’est qu’après avoir rendu mon vélo que j’en ai vu partout autour du campement… Enfin, je n’ai pas fait tant de kilomètres pour rien, j’ai pu voir un superbe paysage et surtout, au bout du cap Vlamigh, j’ai vu un animal que je n’avais jamais vu auparavant : une baleine ! En fait, je n’ai vu que ses jets d’eau et sa queue quand elle replonge, mais le spectacle était époustouflant.

Je voulais aussi voir la batterie de canons installée que Meng avait visitée par le passé, mais qui n’est pas indiqué sur la carte. Malheureusement, je ne suis pas monté sur le Oliver Hill où elle se trouve car je commençais à être un peu à court de force et d’eau potable. Vous comprenez maintenant pourquoi il existe, sur une si petite île, une ligne de chemin de fer qui court de l’ancienne caserne à la batterie de canons. Ce sera pour la prochaine fois.

Un canon
Un canon
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Petite promenade

Hier, je me suis baladé un peu dans le quartier et en ville. Je suis désolé, mais je risque de ne plus écrire de revue. Dans quelques jours, je vais m’envoler vers la France et, malgré un décalage horaire de 6 fuseaux et plus de 18 heures de vol, je recommence à travailler le lendemain de mon atterrissage. L’objectif de la semaine est donc de me reposer et de faire un peu de shopping.

Je suis donc allé me promener du côté de Lake Monger qui se trouve à deux pas de mon lieu de résidence et que je n’avais pas encore exploré. C’est une immense réserve d’eau naturelle autour de laquelle Poppy va régulièrement courir et que Meng m’avait fortement conseillé d’aller voir. Je n’ai pas été surpris par la quantité d’oiseaux, je commence à m’y habituer, par contre j’ai été surpris de leur relative indifférence à l’égard des humains. Je crois que j’ai compris le truc : il suffit de s’approcher d’un de ceux qui a le moins peur et les autres restent dans les parages un peu comme s’ils étaient sensibles à la confiance du premier. L’autre chose qui m’a surpris c’est le bouillonnement de l’eau lorsqu’on se rapproche du bord. Il y a tellement de petits alevins que quand ils sentent que l’on s’approche ça brasse l’eau de la même manière que si l’on y envoyait une poignée de sable !

Canne
Canne
Perroquets sauvages
Perroquets sauvages
Poule d'eau faisant sa toilette
Poule d'eau faisant sa toilette

Ensuite, comme je devais aller faire un saut à la poste au centre-ville, je suis allé du côté de Northbridge, le quartier chinois. En fait de quartier chinois, c’est surtout un lieu particulièrement cosmopolite : si les Chinois y sont arrivés les premiers, ils ont rapidement été suivis par toutes les différentes nations asiatiques puis par tous les autres. On trouve facilement dans ce quatier des restaurant très « fashion » cotoyant restaurants asiatiques de différentes classes et tapas de toutes sortes…

Entrée historique du Chinatown
Entrée historique du Chinatown
Art urbain
Art urbain